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Disposition 10.1

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Le TANU a observé que deux échanges de courriels entre Mme Nimusiima et un ancien membre du personnel du HCR (AM) étaient la seule preuve documentaire offerte pour établir la culpabilité de Mme Nimusiima dans l'émission d'une lettre de réinstallation frauduleuse en échange d'un pot-de-vin. 

L'UNDT avait conclu que ces échanges de courriels montraient que Mme Nimusiima avait agi de concert avec AM, mais qu'ils étaient néanmoins "équivoques" (peu clairs/vagues), "purement circonstanciels" et ne prouvaient pas avec une forte probabilité qu'AM avait envoyé la lettre de réinstallation frauduleuse...

L’UNAT a estimé qu’il y avait une nette disjonction dans la décision du Tribunal du contentieux des Nations Unies de faire droit à la demande de M. Nair uniquement en ce qui concerne les mesures disciplinaires (mais pas les mesures administratives), et en même temps d’annuler la décision disciplinaire elle-même. Le TANU a noté la confusion suscitée par la conclusion du Tribunal du Tribunal selon laquelle « aucune faute n'a eu lieu Â», tout en admettant que M. Nair avait « réagi et utilisé un langage hostile à plusieurs reprises Â» ce qui justifiait, de l'avis du Tribunal, l'imposition de mesures...

Le TANU a rejeté la demande d'audience du requérant et a estimé qu'une telle audience ne contribuerait pas au règlement rapide et équitable de l'affaire, comme l'exige l'article 18, paragraphe 1, du règlement de procédure du TANU.  Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en supprimant les éléments de preuve joints aux conclusions finales du requérant ou en refusant d'entendre les superviseurs du requérant en tant que témoins. Le TANU a estimé qu'il existait des preuves claires et convaincantes que l'appelant avait utilisé la carte d'exemption de TVA et la carte de crédit...

M. Branglidor a fait appel. Unat a constaté que la totalité des preuves a confirmé la conclusion de l'UNDT selon laquelle M. Branglidor était bien conscient de la mensonge des formulaires lorsqu'il a soumis la deuxième réclamation pour le décaissement régulier de la subvention de l'éducation. UNAT a été satisfait que l'UNDT avait raison lorsqu'il a jugé que l'acte d'inconduite était commis avec connaissance et intention. Même si l'inconduite n'a conduit à aucun préjudice réel, puisque l'administration a récupéré le paiement effectué à l'avance et n'a payé aucune subvention d'enseignement...

La réclamation principale du membre du personnel concerne la proportionnalité de la mesure disciplinaire qui lui a été infligée, ce qui est de licenciement sommaire. Le tribunal des appels n'a trouvé aucune faute dans la conclusion de l'UND que le comportement du membre du personnel envers le plaignant était de grave inconduite. Le Tribunal a noté (par. 53 - 56): «… En la harcelant sexuellement, l'appelant a violé les réglementations et les règles applicables. Il ne s'est pas conduit d'une manière qui convenait à son statut de fonctionnaire international. Ses actions ont non seulement violé la...

Le tribunal a constaté que l’administration qualifiait correctement la conduite du demandeur envers les plaignants comme harcèlement sexuel, mais a constaté que la sanction a disproportionné l’infraction. Le tribunal est d'avis que, alors que dans l'évaluation des accusations de harcèlement, le test se concentre sur la conduite elle-même - et nécessite un examen objectif quant à savoir si elle pourrait être attendue ou perçue comme provoquant une infraction ou une humiliation à une personne raisonnable, n'étant pas nécessaire plutôt pour établir que le délinquant présumé a été mal intentionné...

Le tribunal a jugé que les obligations des membres du personnel en vertu du règlement du personnel 1.2 (a), (b) et (f) ne se limitent pas à l'environnement de travail mais s'appliquent également d'une certaine manière à leur vie privée. Les actions du demandeur constituaient une conduite physique de nature sexuelle qui pourrait raisonnablement être exclue ou perçue comme provoquant une infraction ou une humiliation au plaignant. Il ne fait aucun doute que la conduite du demandeur était indésirable. Le tribunal n'a trouvé aucun motif pour examiner le niveau de sanction imposé au demandeur.

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur lorsqu'elle a conclu que la décision de l'administration était illégale et que la sanction imposée était disproportionnée par rapport à la nature et à la gravité du comportement le déclenchant. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur lorsqu'elle a ordonné l'annulation de la sanction et de l'indemnisation au lieu de celle-ci et a substitué la sanction imposée à un moins. Unat a jugé que le secrétaire général avait un large pouvoir discrétionnaire pour déterminer si l'agression équivalait à une...

En appel par le Secrétaire général, Unat a constaté que UNDT avait commis une erreur en fait et en droit dans sa conclusion que les faits d'inconduite n'avaient pas été établis par des preuves claires et convaincantes. Unat a noté qu'une considération appropriée de l'ensemble des preuves n'aurait pu conduire qu'à une conclusion, et c'est que l'individu a agressé la victime. Unat a constaté que l'UNDT ne considérait pas objectivement les preuves, en particulier en accordé une importance déplacée pour les incohérences mineures, en arrivant à des conclusions déraisonnables sur les faits qui n...

Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé et que des preuves claires et convaincantes ont établi que l'appelant a participé à une tentative de prise de biens appartenant à l'organisation. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé en concluant que la sanction disciplinaire du licenciement du service était proportionnée et légale. Sur l’affirmation de l’appelant selon laquelle les articles étaient «des ordures», Unat a jugé que cette affirmation était entièrement sans fondement, car la preuve a montré que les articles incluaient plus de 5 000 USD de matériel, y compris des boîtes de nouvelles...