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Disposition 10.2(c)

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Le recours contre la décision de placer le requérant sur un PIP et le résultat de l'examen de l'UEM des décisions contestées n'est pas recevable.
L'Administration n'a pas respecté les normes procédurales attendues des Nations Unies dans une procédure conduisant à l'imposition d'un blâme écrit. Les déficiences susmentionnées soulèvent des doutes quant à l'apparence d'impartialité de l'enquête et du processus décisionnel et sont donc suffisantes pour entacher la décision attaquée. En conséquence, la décision de l'administration d'adresser à la requérante un blâme écrit et de le verser à son...

Le blâme écrit

 Base factuelle de l'imposition de la mesure

L'UNPAD, en tant que groupe d'intérêt spécial ad hoc, défend les questions relatives aux conditions de travail des membres du personnel d'ascendance africaine au sein des Nations Unies.

L'UNOMS a été créée "pour mettre à disposition des services confidentiels de personnes impartiales et indépendantes afin de traiter les questions liées au travail des membres du personnel" (voir ST/SGB/2016/7, paragraphe 1.1). L'UNOMS est guidée dans son travail par quatre principes fondamentaux, à savoir l'indépendance, la confidentialité, la...

UNDT a noté que la notification du secrétaire général adjoint du Bureau de la gestion des ressources humaines, dans un cas où le pouvoir d'émettre une réprimande a été délégué, n'est pas requis. Même si c'était le cas, son omission n'aurait pas pu avoir eu d'impact sur la validité de la décision contestée. Le requérant n'avait pas été correctement dispensé à commenter les faits et les circonstances avant la publication d'une réprimande écrite ou orale, donc son droit de répondre incarné par la règle 10.2 (c) n'a donc pas été observé. Les faits pertinents pour la décision n'ont pas été établis...

L'administration a informé le demandeur qu '«il émettra une réprimande administrative». La demande d'évaluation de la gestion a été faite dans les 60 jours suivant cette communication et la demande est donc à recevoir même si la réprimande réelle a été publiée des mois plus tard. L'administration a décidé que la requérante n'avait pas exercé son pouvoir discrétionnaire et réglementé sa conduite «avec les intérêts des Nations Unies uniquement en vue» et l'expression de ses opinions personnelles. Bien qu'il n'y ait pas de règle spécifique obligeant le demandeur à consulter l'UNICEF avant d...