²Ù±ÆÊÓƵapp

Disposition 10.3

Showing 1 - 10 of 23

L'UNAT a estimé que l'absence de discussion sur la gestion de l'affaire et d'audience devant le TCNU ne constituait pas une erreur de procédure.

Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en admettant et en examinant le mémorandum d'allégations de mauvaise conduite, car celui-ci avait été utilisé par l'Administration uniquement pour vérifier que les circonstances justifiant le placement du requérant en ALWP existaient.

L'UNAT a également constaté que le rapport d'enquête du BSCI ne faisait pas référence aux communications entre l'appelant et son conseil, ni aux échanges au...

Bien qu'il n'y ait malheureusement pas de témoin oculaire de l'agression physique en question ni de caméra de sécurité qui aurait pu filmer l'agression, le plaignant a fourni, sous serment, un récit détaillé et cohérent de l'agression physique en question, des circonstances qui l'ont provoquée et de ses conséquences. Son récit de l'agression physique et des événements qui ont suivi est corroboré par les témoignages d'autres personnes, les preuves documentaires et/ou le comportement contemporain du requérant, c'est-à-dire sa tentative d'apporter des boissons non alcoolisées à la plaignante...

L'UNAT a jugé que le Tribunal des différends a raisonné à juste titre qu'en vertu du cadre disciplinaire de l'UNFPA, l'évaluation des faits d'inconduite n'est pas exclusive à l'OAIS, mais que le directeur du Département des ressources humaines (directeur / DHR) doit également analyser les éléments de preuve, et une telle analyse pourrait conduire le DHR à une conclusion différente de celle de l'OAIS. En conséquence, dans ce cas, l'UNAT a constaté que l'administration de l'UNFPA avait l'autorité ou le locus standi pour procéder à un processus disciplinaire même en l'absence d'une conclusion d...

Le fardeau de prouver la provenance et l'authenticité des images concerne l'intimé. Le tribunal a constaté que le défi quant à la valeur de la preuve de la vidéo peut être correctement rejeté, étant donné le type de document (un fichier vidéo), son contenu (une démonstration continue de personnes interagissant sans écarts) et les commentaires à ce sujet par le Demandeur (comme mentionné). Le tribunal a constaté qu'un examen médico-légal des fichiers n'était pas nécessaire et que l'anonymat des sources n'a pas sapé son contenu clair et objectif. Dans ce cas, le demandeur n'était pas simplement...

UNAT a considéré un appel du Secrétaire général et un aperçu transversal de M. Ibrahim. Unat a détenu, d'accord avec undt, qu'il n'y avait rien d'illégal ou de justification de compensation dans le processus d'enquête et que l'enquête n'était pas viciée par une erreur de procédure ou un motif inapproprié. En conséquence, Unat a rejeté l'appel croisé. Unat a soutenu que la bouteille de vin a disparu immédiatement après que M. Ibrahim l'avait manipulé pour la deuxième fois devant la caméra, puis le dos obstruant la caméra. Unat a soutenu qu'en dehors du lien direct entre la manipulation de la...

En appel par le Secrétaire général, Unat a constaté que UNDT avait commis une erreur en fait et en droit dans sa conclusion que les faits d'inconduite n'avaient pas été établis par des preuves claires et convaincantes. Unat a noté qu'une considération appropriée de l'ensemble des preuves n'aurait pu conduire qu'à une conclusion, et c'est que l'individu a agressé la victime. Unat a constaté que l'UNDT ne considérait pas objectivement les preuves, en particulier en accordé une importance déplacée pour les incohérences mineures, en arrivant à des conclusions déraisonnables sur les faits qui n...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que Undt avait correctement examiné la décision contestée conformément à la loi applicable et établi les faits critiques de l'affaire. Unat a jugé que UNDT avait un large pouvoir discrétionnaire pour déterminer l'admissibilité des preuves et le poids à s'attacher à celle-ci et que la conclusion de l'UNDT était conforme aux preuves. Unat a jugé que la conclusion de l'UNDT selon laquelle la décision attaquée était illégale était correcte, bien que pour un raisonnement différent. Unat a jugé que les faits qui sous-tendent la décision...

L'UNDT a conclu que la décision de rejeter sommairement le demandeur était injustifiée. Agression: Une accusation d'agression est une accusation criminelle et il n'était pas dans la compétence de l'UNICEF pour enquêter sur une infraction pénale ou un délit que le délit avait été commis. Identification des membres du personnel: Le tribunal a pris note judiciaire du fait que lorsqu'un membre du personnel international se retrouve confronté à une menace imminente de préjudice physique ou est placé dans une autre position particulière, en particulier dans un pays étranger, il est raisonnable de s...

UNDT/2013/172, Bastet

Le Tribunal a noté que la délégation de l'autorité en matière disciplinaire de la SG à l'USG pour la direction en juillet 2009 n'avait pas été publiée et n'avait pas de requis substantielle pour prendre effet légal. De plus, le tribunal a constaté que l'USG pour la direction ne pouvait pas déléguer davantage ce pouvoir à une autre personne, car toute sorte de «sous-délégation» aurait dû être prévue dans la délégation initiale de l'autorité par le SG à l'USG pour la direction, qui, ce qui n'était pas le cas. La décision de rejeter le demandeur a été prise par l'OIC, USG pour la direction. Le...

Le tribunal a conclu que la sanction avait été prise conformément aux réglementations et aux règles applicables qui régissent les questions disciplinaires et qu'elle était conforme aux sanctions appliquées dans d'autres questions de nature similaire. Les droits à une procédure régulière du demandeur ont été respectés tout au long de l’enquête préliminaire et du processus disciplinaire qui a suivi. La décision contestée était à la fois factuelle et juridiquement et ne reflétait aucun biais, des motivations inappropriées, une irrégularité procédurale erronée ou des erreurs de droit. La...