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Article 10.2

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Unat a noté que, lors de l'examen d'une sanction imposée par l'administration, il devait examiner si les faits sur lesquels la sanction était fondée était établie; si les faits établis sont légalement constitués de faute; et si la mesure disciplinaire appliquée était disproportionnée à l'infraction. Unat a confirmé la décision du commissaire général de discipliner le membre du personnel pour faute. Cependant, à la lumière des facteurs atténuants, Unat a jugé que la mesure disciplinaire était disproportionnée à l'infraction et a substitué la mesure disciplinaire de la rétrogradation avec celle...

Sur la question de savoir si elle avait été établie par des preuves claires et convaincantes que l’appelant avait la possession de la possession et a échangé, Tramal, unat était d'accord avec les déterminations, l'analyse et les conclusions de la crédibilité de l'UNRWA DT et a accepté ses conclusions factuelles. Sur la question de savoir si les faits établis ont montré une faute, UNAT a jugé que l'inconduite fondée sur des actes criminels sous-jacents ne dépend pas du condamné par le membre du personnel pour un crime devant un tribunal national. UNAT a rappelé la jurisprudence de l’ancien...

Unat a jugé que l'appelant n'avait établi aucune erreur ou la loi qui justifierait l'inversion du jugement de l'UNRWA DT en appel. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait correctement caractérisé la décision administrative contestée sous réserve de son examen judiciaire comme une rétrogradation et un transfert ultérieur, qui a été pris après une procédure disciplinaire. Unat a jugé que l'UNRWA DT n'avait pas commis d'erreur lorsque, après avoir effectué un examen adéquat des exigences pour l'adoption d'une mesure disciplinaire, il a conclu qu'il y avait eu une faute et que la sanction était légale et...

Unat a considéré l'appel. Unat a noté que le système disciplinaire de l’UNRWA prévoit que le commissaire général ne peut imposer que de telles mesures disciplinaires aux membres actuels du personnel. UNAT a donc constaté que l'UNRWA DT avait commis une erreur en concluant que le commissaire général avait le droit d'imposer la mesure disciplinaire d'une amende après la fin de l'emploi de l'appelant et a jugé que la mesure disciplinaire devait être annulée. En ce qui concerne la demande d’indemnisation de l’appelant, UNAT a noté qu’elle ne peut accorder une indemnisation que pour préjudice dans...

En tant que question préliminaire, Unat a jugé qu'une audience orale n'était pas nécessaire et ne contribuerait pas à l'élimination rapide et équitable de l'affaire, car l'appelant n'avait pas fourni une motif pour une audience orale au-delà de la demande de confronter les témoins et de commenter les preuves existantes. Alors que Unat a jugé que l'appelant n'avait identifié aucune erreur de droit ou de fait par Unrwa DT, comme l'exige le statut d'art 2 (1), unat a continué à considérer son appel car il n'était pas représenté. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait correctement appliqué la norme de...

Unat a convenu avec l'UNRWA DT que la décision contestée était un exercice légal du pouvoir discrétionnaire. En ce qui concerne l'affirmation de l'appelant selon laquelle le processus a été entaché en raison du délai de temps depuis que la plainte de comportement s'est produite (dix ans) et en raison de la nature du ouï-dire des preuves, Unat a expliqué que ces mêmes arguments ont été avancées à la fois au DT et au DT et au Administration pendant la phase d'enquête. Le tribunal a convenu avec l'UNRWA DT qu'il y avait suffisamment de preuves corroborantes pour soutenir les allégations. Le...

L'UNRWA DT a reconnu que la mesure disciplinaire imposée de la séparation du service sans indemnité de licenciement est l'une des mesures disciplinaires les plus graves que l'agence puisse imposer à un membre du personnel. Néanmoins, il a décidé que, étant donné l’inconduite de l’appelant dans l’engagement des châtiments corporels d’un enfant handicapé et très vulnérable, et la politique claire de la tolérance zéro de l’agence envers les châtiments corporels, la mesure disciplinaire imposée à l’appelant ne semblait ni absurde ni arbitraire; Il n'y avait pas non plus de preuve que la mesure...

Il s'agissait d'un exercice raisonnable de la discrétion du commissaire général de déterminer qu'il a intentionnellement abusé d'une position de pouvoir et de confiance contre un bénéficiaire de l'UNRWA dans une situation vulnérable rendue M. Al Khatib inapte à un service supplémentaire avec l'agence, et la séparation du service sans résiliation sans cessation L'indemnité n'était ni injuste ni disproportionnée à la gravité de l'infraction.

Unat a jugé que les faits sur lesquels UNRWA fonde sa décision avait été établi, en plein égard de ses droits à une procédure régulière. Unat a jugé que l'UNRWA DT ne s'est pas trompé car il y avait des preuves claires et convaincantes que l'appelant a commis une exploitation sexuelle et des abus contre un bénéficiaire de l'UNRWA; Cela n'a pas non plus été commis en concluant que la sanction disciplinaire était proportionnée et légale. Unat a soutenu que l'appelante, en faisant en sorte que la plaignante retire son pantalon et ses sous-vêtements et s'engageant dans un examen médical aussi...