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Article 9.1

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Inatterre préliminairement que l'appel était à recevoir, car il a été déposé dans le délai accordé pour le dépôt. En ce qui concerne la question de la résiliation de l’appelant, Unat a jugé que la décision de l’UNRWA JAB était légale, rationnelle et procédurale. Unat a soutenu qu'il s'agissait d'un cas exceptionnel où la doctrine de la proportionnalité devrait être invoquée. Unat a jugé que la décision de résilier les services de l’appelant était disproportionnée, plus drastique que nécessaire. Unat a noté que les changements dans les dossiers qui ont été apportés par l'appelante ont montré qu...

UNAT a confirmé la décision du commissaire général de mettre fin au membre du personnel pour faute. Unat a souligné le fait que le membre du personnel, en tant que garde, a occupé un poste de confiance qu'il n'avait pas respecté. Unat a jugé que lorsque la résiliation du service est liée à tout type d'enquête sur la possible inconduite d'un membre du personnel, elle doit être examinée comme mesure disciplinaire. Unat a jugé que la sanction imposée de séparation n'était pas disproportionnée à l'infraction. Jugements connexes: 2010-UNAT-018 (MAHDI)

Unat a soutenu qu'il s'agissait d'une erreur de procédure pour permettre au commissaire général de participer à la procédure et de déposer une réponse tardive sans ordonnance écrite, mais que l'appelant n'a pas été préjudiciable par cette erreur et que l'erreur n'a pas violé ses droits à une procédure régulière . Unat a jugé que le non-respect de l'appelant à s'opposer à la réponse tardive de l'intimé avant que l'UNRWA DT ne l'empêchait pas de soulever en appel de la question de l'erreur de procédure. Sur l’affirmation de l’appelant selon laquelle l’UNRWA DT a commis une erreur alors qu’il ne...

Unat considérait les appels de l'appelant. Unat n'a pas trouvé de mérite dans les allégations de l'appelant selon laquelle l'UNRWA DT a commis une erreur sur les questions de droit et de procédure en concluant que la situation de sécurité et la sécurité du personnel ont été examinées par l'administration sur la base des règlements des Nations Unies concernant la sécurité des membres du personnel. Unat a jugé que les appelants n'avaient pas démontré d'erreurs dans la conclusion de l'UNRWA DT que la décision de l'administration d'évaluer et de résilier leur service résulte d'un exercice valide...

Unat a considéré l'appel. Unat a noté que l'appel était défectueux parce que l'appelant n'avait identifié aucun des cinq motifs d'appel indiqués à l'article 2.1 comme formant la base juridique de son appel. Unat a constaté qu'il n'avait pas respecté son obligation statutaire en tant qu'appelant, en ce que rien qu'il plaidait n'était capable de démontrer que l'UNRWA DT a commis une erreur de fait ou de loi justifiant l'intervention de Unat. Unat a également constaté que l'appelant n'avait démontré aucune erreur dans la conclusion de l'UNRWA DT et n'avait fourni aucune preuve à l'appui de ses...

En tant que question préliminaire, Unat a jugé qu'une audience orale n'était pas nécessaire et ne contribuerait pas à l'élimination rapide et équitable de l'affaire, car l'appelant n'avait pas fourni une motif pour une audience orale au-delà de la demande de confronter les témoins et de commenter les preuves existantes. Alors que Unat a jugé que l'appelant n'avait identifié aucune erreur de droit ou de fait par Unrwa DT, comme l'exige le statut d'art 2 (1), unat a continué à considérer son appel car il n'était pas représenté. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait correctement appliqué la norme de...

Unat a jugé que, bien qu'aucun processus d'évaluation des performances n'était légalement nécessaire pour la résiliation, une procédure appropriée aurait dû être suivie. Unat a jugé que l'UNRWA n'a pas indiqué que le contrat serait résilié avant sa date d'expiration si le membre du personnel n'avait pas amélioré ses performances, et l'absence d'avertissement équitable a rendu la décision de résilier illégalement. UNAT a accordé l'appel en partie, annulé la décision de résiliation et ordonné la réintégration, avec une indemnisation en ligne de deux mois de salaire net de base.

L'UNRWA DT a reconnu que la mesure disciplinaire imposée de la séparation du service sans indemnité de licenciement est l'une des mesures disciplinaires les plus graves que l'agence puisse imposer à un membre du personnel. Néanmoins, il a décidé que, étant donné l’inconduite de l’appelant dans l’engagement des châtiments corporels d’un enfant handicapé et très vulnérable, et la politique claire de la tolérance zéro de l’agence envers les châtiments corporels, la mesure disciplinaire imposée à l’appelant ne semblait ni absurde ni arbitraire; Il n'y avait pas non plus de preuve que la mesure...