²Ù±ÆÊÓƵapp

Article 9.2

Showing 31 - 34 of 34

Unat a considéré que les demandes de 1994 et 2018 faites par l'appelant pour modifier sa date de naissance étaient essentiellement les mêmes demandes. Unat a rappelé que la réitération d'une décision administrative originale si elle est interrogée à plusieurs reprises, ne réinitialise pas l'horloge par rapport au calendrier statutaire. Unat a jugé que la période statutaire au cours de laquelle l'appelant devait déposer une contestation à la décision de 1994 a expiré en 1997. Unat a jugé que l'UNRWA DT ne s'est pas trompé en rejetant la demande. En examinant la demande de l’intimé d’attribuer...

Unat a jugé que l'appelant n'avait pas contesté la décision de la séparer de l'organisation, donc le SAB n'a pas été saisi avec sa séparation et son appel à cette question n'était pas à recevoir. UNAT a jugé que les réclamations de l’appelant pour indemnisation pour la douleur, la souffrance et les dépenses médicales dépassaient le cadre de l’affaire et donc pas à recevoir. Unat a jugé que la décision du secrétaire général de l'OMI de placer l'appelant en congé de maladie était fondée sur de bonnes preuves médicales qui n'ont pas été réfutées à l'époque et qu'il n'y avait aucune base pour...

2020-UNAT-1020, Dibs

Unat a considéré une demande d'exécution du jugement n ° 2017-UNAT-798 par M. Dibs. Unat accordé en partie la demande d'exécution du jugement et de l'ordonnance de l'UNRWA pour exécuter pleinement le jugement dans les 30 jours civils, conseillant que le non-respect de la date limite entraînerait une conclusion de maltraitance manifeste de processus, de l'attribution des frais et, potentiellement, une référence pour la responsabilité. Unat a considéré que la demande de dommages moraux et pécuniaires n'était pas dans le cadre de la demande.

UNAT a considéré un appel du commissaire général et un appel à l'appel de Mme Kaddoura. Unat a confirmé le jugement de l'UNRWA DT en partie. Il n'a fait que référence à l'ancien commissaire général de responsabilité, concluant qu'il n'était pas suffisant pour compter sur le ouï-dire pour référer un ancien membre du personnel, que ce soit l'ancien commissaire général ou toute autre, à la responsabilité. Unat a en outre soutenu qu'il n'y avait aucune possibilité d'imposer une mesure disciplinaire à un ancien membre du personnel, et à ce titre, une telle référence serait inefficace.