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Article 7.5

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L'UNAT a estimé que l'appel contre les deux ordonnances interlocutoires était devenu sans objet après le prononcé du jugement n° UNDT/2022/124 et que l'UNDT n'avait pas commis d'erreur en rendant son jugement pendant la durée de cet appel. L'UNAT a néanmoins observé que l'UNDT avait commis une erreur de droit en imposant un délai déraisonnablement court pour se conformer à l'ordonnance n° 157 (NBI/2022). Malgré cela, l'UNAT a conclu que, la procédure étant irrecevable, cette conclusion n'était pas d'une grande aide pour l'appelant dans sa cause. Concernant l'ordonnance n° 158 (NBI/2022), l...

Notant que UNDT a conclu que le Bureau du personnel d'assistance juridique (OSLA) avait fourni à l'appelant une assistance juridique et que son refus de fournir une représentation légale était raisonné, approprié et n'a pas violé aucune obligation légale de l'OSLA, Unat a jugé que UNTT ne n'avait pas Ert dans le droit ou le fait ou dépasser sa compétence pour parvenir à cette conclusion. Unat n'a trouvé aucune faute avec le rejet par UNDT de l'affirmation de l'appelant selon laquelle l'OSLA n'avait aucune autorité discrétionnaire. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé en droit ou en fait ou...

2016-UNAT-645, Fiala

Unat a constaté que l'exécution du jugement UND n ° UNT / 2014/007 avait été suspendue à la suite du dépôt de l'appel du Secrétaire général à l'UNAT. Unat a jugé que le jugement de l'UND était dûment exécutable lors de la délivrance aux parties du jugement n ° 2015-UNAT-516, dans laquelle UNAT a rejeté l'appel du Secrétaire général contre le jugement de l'UNT. Unat a jugé que la requête du membre du personnel demandant l'exécution avait été correctement déposée avant UNAT. Unat a jugé que la demande d'exécution avait été rendue par l'événement selon lequel le paiement avait été émis le 22...

UNAT a considéré l'appel du Secrétaire général contestant l'indemnisation des dommages moraux. Unat a jugé qu'il y avait suffisamment de preuves produites que le montant de l'indemnisation des dommages-intérêts moraux avait été versé sur le compte bancaire du membre du personnel. Unat a jugé que le paiement de l'indemnisation constituait une acceptation du secrétaire général du jugement de l'UND. Unat a jugé que l'appel était donc sans objet. UNAT a rejeté la demande du membre du personnel en matière de frais contre le Secrétaire général en raison de la violence de processus. Unat a soutenu...

Unat a examiné l'appel alors que la demande de révision avant UNT était toujours en suspens. Unat a jugé que la nouvelle œuvre d'emploi pour 13 postes vacants S-3, pour lesquelles le demandeur a été invité à interviewer, est une question qui pourrait être pertinente pour la question de la quantité de rémunération. Unat a renvoyé l'affaire à UNT pour terminer son audience de la demande de révision du jugement.

Unat a jugé que UNDT n'avait pas dépassé sa juridiction en confirmant qu'un appel contre l'ordonnance n'a eu aucun effet de suspension et a rendu un jugement sur le fond alors qu'un appel contre l'ordonnance contestée était toujours en suspens avec unat. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas commis en refusant de tenir une discussion supplémentaire en gestion de cas ou à considérer des preuves supplémentaires car l'appelant n'a pas fourni une raison adéquate et convaincante pour laquelle ses demandes de preuves supplémentaires ou de nouvelles discussions de gestion des cas n'ont pas été prises...

En examinant la totalité de la situation particulière du demandeur, le tribunal des différends a jugé qu'il s'agissait d'un cas exceptionnel avec des raisons exceptionnelles justifiant une prolongation du délai. Une prolongation du délai de dépôt a été accordée.

Le demandeur, alors membre du personnel, a postulé et a été présélectionné pour le poste adversé par Galaxy d'ASG / DESA. L'avis indiquait que les candidatures de tous les membres du personnel de l'ONU devaient être «considérées en premier», c'est-à-dire en priorité pour les candidats externes, et via une procédure semblable à celle de ST / AI / 2006/3. La personne nommée n'était pas un membre du personnel de l'ONU et le demandeur a contesté la décision de les nommer. À peu près au moment de la demande du demandeur pour le poste, il a fait l'objet de diverses enquêtes largement publiées. L...

Quelle que soit la source d'informations publiées dans les articles publics, la décision de publier un communiqué de presse en réponse aux publications tombe, par principe, à la discrétion de l'organisation et est une prérogative de gestion. Les organisations soumises à un haut niveau d'examen public, qui est le cas de l'ONU, ont le droit de répondre aux allégations publiques et de défendre leurs intérêts, leur image et, finalement, leur travail dans les limites fixées par leur droit interne. Dans le cas actuel, le tribunal doit évaluer si le contenu d'un communiqué de presse a eu un impact...