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Article 13

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Le Tribunal a noté que l'ordonnance n° 20 (NBI/2024) dans l'affaire n° UNDT/NBI/2024/008 a rejeté la demande de suspension de l'action du requérant en vertu de l'art. 13 du règlement intérieur du Tribunal. Le requérant a soutenu que le Tribunal a mal interprété sa demande dans l'affaire n° UNDT/NBI/2024/008 comme étant déposée en vertu de l'art. 13 du Règlement intérieur de l'UNDT (régissant la suspension de l'action pendant une évaluation de la gestion), plutôt que de l'art. 14 (régissant la suspension de l'action pendant la procédure) de ces règles.

Le Tribunal a estimé que, dans la mesure...

Le Secrétaire général a fait appel de l'ordonnance UNDT. Unat a jugé que, lorsque la mise en œuvre d'une décision administrative est imminente, sans faute ni retard de la part du membre du personnel, et se déroule avant les cinq jours prévus en vertu de l'article 13 de UNT ROP s'est écoulé, et où undt n'est pas En mesure de prendre une décision en vertu de l'article 2. 2 de la loi UNDT, i. e. Parce qu'il nécessite plus d'informations ou de temps pour réfléchir à la question, il doit avoir le pouvoir discrétionnaire d'accorder une suspension de l'action pendant ces cinq jours. Pour trouver le...

Unat a considéré les trois appels du secrétaire général contre les ordonnances de l'UNDT. Unat a jugé que les appels étaient à recevoir parce que: (1) Undt a dépassé sa compétence en vertu de l'article 2. 2 du statut de l'UND en ordonnant la suspension de la décision contestée au-delà de la date d'achèvement de l'évaluation de la direction; et (2) UNDT a dépassé sa juridiction en vertu de l'article 10. 2 de la loi UNDT par ordonnance, au cours de la procédure, une suspension de la décision contestée en tant que mesure provisoire en cas de nomination. L'UNAT a jugé que l'ordonnance n ° 129 a...

UNAT a rejeté la demande d'audience orale ne trouvant pas la plus grande clarification des problèmes. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas identifié les motifs de son appel, considérant qu'il est défectueux. Unat a convenu avec Unrwa DT que l'appelant n'avait pas respecté la règle 111.3 du personnel, qui prescrit que le membre du personnel est tenu de faire appel au JAB dans les trente jours. Unat a jugé que la conclusion de l'UNRWA DT selon laquelle la demande n'était pas à recevoir ne présentait aucune erreur de droit ou de fait. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA...

Unat a considéré un appel de l'ordonnance n ° 079. Unat a jugé que, que l'UNDT ait commis une erreur de droit, de fait ou de procédure, l'article 2 (2) de la loi UNDT a empêché un appel à Unat si Undt a agi dans son juridiction ou compétence. Unat a jugé qu'Untt agissait dans sa juridiction ou sa compétence. Unat a jugé que l'appel n'était pas à recevoir. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé l'ordonnance de l'UNT.

La décision contestée était prima facie illégale pour les raisons suivantes: i) Il y avait une promesse de renouvellement de la part de l'officier responsable qui a créé une attente légitime de renouvellement, qui a placé le défendeur à se demander si ce n'était pas dans le L'intérêt de l'organisation selon laquelle l'attente du renouvellement de l'emploi devrait être réalisée; et ii) la décision de ne pas renouveler le contrat du demandeur semblait être en violation des règles de l'organisation et équivalait à un abus de pouvoir discrétionnaire. Sur la question de l'urgence, le requérant...

UNDT/2009/097, Lewis

Prima facie illégation: il y a des preuves positives du demandeur sur ce que son superviseur a déclaré et quelques preuves suggérant une mauvaise volonté de la part de son superviseur. Le faible test d'une argument raisonnable est satisfait et en conséquence, la condition préalable de l'illumidité prima facie est présente. Urgence: Le demandeur a fourni des explications raisonnables pour le retard dans la contestation de la décision et le contrat devait expirer le jour de l'audience; Par conséquent, l'urgence est satisfaite. Dommages irréparables: une simple perte économique ne peut jamais...

UNDT/2009/096, Utkina

La recevabilité de la décision de ne pas renouveler la nomination: dans ce cas, le point de déclenchement aurait dû être le moment où le membre du personnel a été informé par l'administration qu'il n'y avait aucune chance ou possibilité de renouvellement raisonnable. Ainsi, c'est la date à laquelle le demandeur a été informé de la résiliation de son contrat; Par conséquent, la demande est à recevoir. Les articles 13 et 14 des règles de procédure: Étant donné qu'il existe une évaluation continue de la décision de la décision de ne pas renouveler la nomination du demandeur, la mesure provisoire...

UNDT/2009/092, Calvani

La décision du Tribunal d'accorder une suspension d'action sur une telle décision n'aurait pas pour effet d'annuler ou d'annuler la décision contestée comme le prétendait l'intimé, mais seulement celui de la suspension temporairement, à partir de la date de la décision du tribunal et jusqu'à la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que la date telle que...

La demande actuelle de suspension de l'action doit être jugée contre le test cumulatif stipulé, en ce sens que le demandeur doit établir que la décision contestée est prima facie illégale, appelle à un jugement urgent et que la mise en œuvre de la décision attaquée lui causerait un préjudice irréparable. Le tribunal ne trouve aucune irrégularité dans l’application par l’intimé des critères de rétention du personnel en ce qui concerne le demandeur. Cette application échoue donc sur le membre de l'illumidité prima facie. Après avoir constaté que la décision contestée n'est pas illégale, et étant...