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Prestations et droits

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La réclamation du demandeur était fondée sur son affirmation selon laquelle elle était sur le statut officiel du voyage aux dépenses des Nations Unies lorsqu'elle a été forcée de prendre une escale de 23 jours à Khartoum. En conséquence, elle a affirmé qu'elle avait droit à la DSA conformément à la règle 7.10 du personnel. Le tribunal a toutefois constaté qu’il n’y avait pas de catégorie en vertu du travail juridique applicable de droit à la DSA en vertu duquel le temps du demandeur à Khartoum est tombé.

La correspondance post-résiliation du requérant visant à clarifier les prestations de ses terminaux, sa réception éventuelle d'un état de paiement le 20 septembre 2021 et le dépôt d'un nouveau Mer le 27 octobre 2021 réitérant les points précédemment soulevés et décidés par le meu ne pas réinitialiser l'heure du dépôt de la demande. Le demandeur a attendu environ sept mois après avoir reçu la réponse du MEU en juin 2021, qui a abordé ses soumissions sur le droit à l'indemnité de résiliation, avant de déposer la demande. La demande était donc en dehors du délai de 90 jours autorisé.

Conformément à la règle 11.2 (c) du personnel, le demandeur aurait dû demander l'évaluation de la direction de la décision du 31 août 2021 d'ici le 30 octobre 2021, ou même plus tôt, si l'intention était de plaider contre la décision de récupération communiquée entre le 30 juin et le 9 juillet. Le demandeur envisageait de recourir à l'évaluation de la direction déjà en juillet 2021, il n'a cependant demandé l'évaluation de la direction que le 3 novembre 2021, qui était après les deux délais.

Un ancien membre du personnel contestant une décision résultant de sa nomination ou du contrat écoulé est, aux fins de la règle 11.2 du personnel, considérée comme un «membre du personnel». En tant qu'ancien membre du personnel, le demandeur n'a pas été exempté de soumettre une demande d'évaluation de la direction. Par conséquent, le tribunal n'était pas compétent pour divertir cette application.

Si la demande est à recevoir dans son intégralité, bien que le demandeur ait remis en question la légalité du seuil pour se qualifier pour une allocation monoparentale, contenue dans la SEC. 4.4 de ST / AI / 2018/6, il doit être compris comme faisant partie de son raisonnement juridique ou de ses arguments et ne peut être considéré comme la «décision contestée» comme suggéré par l'intimé. En effet, le demandeur ne prétend pas dans le résumé que l'exigence contenue dans la Sec. 4.4 de ST / AI / 2018/6 est illégal mais cherche plutôt à contester l'application directe et individuelle de l...

La conséquence logique de l'annulation de la décision administrative contestée serait de renvoyer l'affaire à Dhmosh pour une nouvelle considération à la lumière des conclusions du tribunal dans le cas présent. Comme la prémisse juridique fondamentale de la décision administrative contestée a été imparfaite, le tribunal constate que ce serait le remède le plus approprié dans la présente affaire (en ligne, voir le Tribunal d'appel dans Gueben et al. 2016-UNAT-692, par. 48). À cet égard, le tribunal note qu'il n'a aucune compétence pour diriger le travail d'un conseil médical potentiel ou de l...

En ce qui concerne l'annexe D applicable à la présente affaire, le tribunal note que dans l'annexe D actuelle (ST / SGB / 2018/1 / Rev.1), il est indiqué que «[F] ou les réclamations déposées pour les incidents survenus avant de L'entrée en vigueur des règles révisées actuelles, les règles précédemment applicables seront appliquées »(voir Art. 6.1 (b)). Selon les propres soumissions factuelles du demandeur, alors que sa demande de rémunération a été soumise le 29 juin 2018, elle concernait des incidents qui se sont produits quelque part entre 2015 et jusqu'à ce que son congé médical commence...

Unat a jugé qu'une analyse de l'e-mail et d'une autre correspondance entre le PNUD et l'appelant a indiqué qu'elle n'aurait pas pu être amenée à croire que sa demande de congé pour janvier 2020 serait accordée. On lui avait informé qu'un membre du personnel n'avait droit à un congé à domicile que si le contrat du membre du personnel devait se poursuivre pendant plus de six mois après le rendement du congé, mais l'engagement continu de l'appelant avec le PNUD était inconnu, et sa date de fin de contrat actuelle était le 30 juin 2020. Unat a jugé que le PNUD s'était conformé de ses obligations à...

Mme Coleman a fait appel. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND. Unat a noté qu'en atteignant sa conclusion qu'il était raisonnable pour l'administration de décider qu'il n'était pas dans l'intérêt de l'organisation de maintenir Mme Coleman sur le statut de rémunération sans effectuer de travail avant l'expiration de son rendez-vous à terme, l'UNDT considérée, entre autres, que: i) elle s'était placée dans une situation dans laquelle elle ne pouvait plus exercer ses fonctions au Pakistan; ii) Elle avait rejeté la mission temporaire qui lui a été offerte à South Soudan; et...

Unat a d'abord expliqué que dans le cadre du nouveau régime de remboursement, une dépense serait recouvrable si: (i) c'est pour les frais de scolarité; (ii) il est versé directement à l'école; et (iii) il est certifié par l'école comme nécessaire pour la fréquentation. Unat a rejeté l'affirmation du membre du personnel selon laquelle une autre entité de l'ONU appliquerait plus favorablement une règle à son cas, cette interprétation de l'entité devrait l'emporter sur celui donné par l'organisation où il travaille réellement. Deuxièmement, non d'accord avec l'approche de l'administration selon...