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OACI

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À titre préliminaire, le Tribunal d'appel a rejeté l'argument de M. Wan selon lequel le fait qu'il n'ait pas été représenté devant la commission de recours de l'OACI l'a considérablement désavantagé, ce qui a eu une incidence directe sur l'issue de l'affaire.

S'agissant du fond de l'affaire, le Tribunal d'appel a confirmé les conclusions de la Commission de recours selon lesquelles il avait été prouvé de manière claire et convaincante que M. Wan avait commis deux fautes qui justifiaient l'imposition de la sanction de licenciement.Sur la base des documents présentés par le Secrétaire général...

En ce qui concerne l'application prétendument discriminatoire et arbitraire de la règle 105.3 du personnel de l'OACI concernant les heures supplémentaires, le Tribunal d'appel a estimé que la Commission de recours n'avait pas commis d'erreur en constatant que M. Alvear n'avait pas identifié de décision administrative spécifique susceptible de recours, et qu'elle n'avait donc pas commis d'erreur en rejetant sa demande.

En ce qui concerne la plainte de M. Alvear selon laquelle il n'avait pas reçu les résultats de la classification de son poste, le Tribunal d'appel a estimé que la Commission de...

À titre préliminaire, la Commission d'appel a estimé que M. Radu n'avait pas démontré l'existence de circonstances exceptionnelles à l'appui de sa demande d'anonymat et a donc rejeté sa demande.
La Commission d'appel a rejeté l'appel de M. Radu concernant la décision n° 1 de la Commission d'appel.  La Commission d'appel a estimé que même si le Règlement du personnel devait être interprété comme exigeant la consultation de la clinique médicale à ce moment-là, le fait que l'Organisation n'ait pas respecté le Règlement du personnel n'aurait pas rendu la décision nulle ab initio.
En ce qui...

L'UNAT a rejeté l'appel, sans préjudice.

L’UNAT a noté que le recours de M. Radu concernait la décision administrative du 8 novembre 2021 concernant sa cessation de service pendant un arrêt de maladie certifié.

L'UNAT a en outre noté qu'un recours distinct de M. Radu, d'abord devant la Commission de recours et maintenant devant l'UNAT, concernait cette même décision administrative du 8 novembre 2021 sur le fond, à savoir la mesure disciplinaire de cessation de service pour la faute alléguée ( Cas UNAT n° 2023-1804).

L'UNAT a estimé que la décision attaquée de la Commission de recours dans...

L'UNAT a estimé que la Commission d'appel de l'OACI avait mis en œuvre des modifications internes dans sa législation pour satisfaire aux exigences de l'article 2 (10) du Statut du Tribunal d'appel. Elle a constaté que la Commission d'appel ne fournissait plus uniquement des conseils ou de simples recommandations au secrétaire général de l'OACI, mais plutôt des décisions finales et, par conséquent, constituait une procédure neutre de première instance. Elle a en outre estimé que, même si l'OACI aurait pu envisager de recourir au Tribunal pour résoudre les différends entre membres du personnel...

Unat a jugé que les décisions contestées du Conseil de l'OACI ne sont pas des décisions administratives dans le cadre du mandat de l'UNAT. Unat a jugé que ces décisions sont des décisions réglementaires qui ne sont pas soumises à l'examen par Unat. UNAT a rejeté l'appel pour le manque de compétence en matière de matière.

Unat a noté que, en considérant un appel déposé par un ancien membre du personnel de l'OACI, il a examiné une décision prise par une autorité exécutive (i. par une cour professionnelle et indépendante de première instance déterminant la question elle-même par le biais de sa décision, i. e., undt. Unat a jugé que dans cette mesure, le statut Unat ne s'applique qu'à un appel dans la mesure où, et à condition que ses dispositions soient compatibles avec le jugement d'un appel accordé contre une décision prise par une autorité exécutive. Unat, ayant soigneusement examiné les documents de contexte...

Notant l'affirmation du Secrétaire général selon laquelle le revue administrative par l'OACI est l'équivalent de l'évaluation de la gestion en vertu de l'article 7 (3) de la loi Unat, et l'article 7 (3) doit être interprété de la même manière que l'article 8 (3) de la UNDT Statut, Unat a convenu que l'article 7, paragraphe 3, interdit à Unat de renoncer à la date limite par laquelle l'appelant devait demander un examen administratif. Unat a jugé qu'il n'avait pas compétence ou compétence pour répondre aux avantages des allégations de fond de l'appelant, car Ajab n'a pas considéré le fond de...

UNAT a rappelé qu'il a toujours jugé que l'article 8, paragraphe 3, de la loi UNDT doit être lu littéralement pour interdire à l'UNT de renoncer aux délais pour rechercher l'évaluation de la direction et que l'UNT n'a pas juridiction ni compétence pour renoncer à de telles délais. Unat a jugé que l'ignorance de la loi n'est pas une excuse et, bien qu'il soit regrettable que M. Nianda-Lusakueno ne s'appuyait sur la procédure de révision informelle, une telle dépendance n'a pas été considérée comme des circonstances exceptionnelles en vertu de la règle du personnel de l'OACI 111. 1, paragraphe 8...

Unat a considéré l'appel et l'a permis en partie. Unat a jugé que l'affirmation de l'appelant selon laquelle l'AJAB avait constaté une série de violations de ses droits en tant que membre du personnel, mais n'avait pas attribué une indemnisation proportionnelle, avait du mérite. Unat a jugé que les violations de l'IACO identifiées par l'AJAB étaient de nature fondamentale (c'est-à-dire le traitement d'une affectation temporaire comme une discrimination, la discrimination du personnel, le fait de ne pas faire de bonne foi pour trouver des postes alternatifs et de refuser de donner accès au...