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UNDT/2023/136, Koura

Le requérant n'a pas réussi à convaincre le Tribunal que l'administration avait fait naître en lui une espérance légitime de renouvellement de son ALE. Une mesure administrative prise par erreur sans contrat écrit ne constitue pas un motif d'espérance légitime de renouvellement.

Le Tribunal a convenu avec le requérant que le statut et le règlement du personnel doivent être appliqués de manière uniforme et cohérente aux membres du personnel. Les procédures des Nations Unies existent pour faciliter des décisions de fond équitables et transparentes, et le non-respect des procédures requises n...

L'UNAT a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur de procédure dans sa gestion de l'affaire qui aurait affecté l'issue de l'affaire. L'appelant a eu une occasion significative de présenter sa défense et de remettre en question la véracité des déclarations portées contre lui. Les témoins supplémentaires qu’il souhaitait faire comparaître n’auraient guère été d’une grande utilité pour sa cause.

L'UNAT a estimé que le Tribunal avait conclu à juste titre que le comportement allégué était établi par des preuves claires et convaincantes et que les actes de l'appelant, à savoir le fait de...

L'UNAT a estimé que l'appel contre les deux ordonnances interlocutoires était devenu sans objet après le prononcé du jugement n° UNDT/2022/124 et que l'UNDT n'avait pas commis d'erreur en rendant son jugement pendant la durée de cet appel. L'UNAT a néanmoins observé que l'UNDT avait commis une erreur de droit en imposant un délai déraisonnablement court pour se conformer à l'ordonnance n° 157 (NBI/2022). Malgré cela, l'UNAT a conclu que, la procédure étant irrecevable, cette conclusion n'était pas d'une grande aide pour l'appelant dans sa cause. Concernant l'ordonnance n° 158 (NBI/2022), l...

 

Le candidat a été jugé apte à occuper les postes disponibles. En effet, pour un poste vacant, il a été l'un des huit candidats présélectionnés et convoqués à un entretien. En le présélectionnant, l'administration a tacitement reconnu qu'il était jugé apte à occuper le poste ; selon Timothy UNDT/2017/080, en tant que titulaire d'un engagement continu menacé de résiliation, l'administration était obligée à partir de ce moment d'examiner sa candidature sur une base préférentielle et non concurrentielle.

Le Tribunal a estimé que l'administration avait manqué à son obligation de s'efforcer...

Appealed

Sur la question de savoir si les faits ont été établis par des preuves claires et convaincantes, le Tribunal a constaté que le requérant a commis des actes affectant deux membres du personnel, à savoir V01 et V02. Le Tribunal a donc estimé que les faits sur lesquels la sanction était fondée étaient clairement établis.

En ce qui concerne la faute, le Tribunal a conclu que la conduite du requérant envers V01 et V02 était (i) importune, (ii) de nature sexuelle, et (iii) que l'on pouvait raisonnablement s'attendre à ce qu'elle soit offensante ou humiliante, ou à ce qu'elle soit perçue comme telle...

Appealed

La correspondance post-résiliation du requérant visant à clarifier les prestations de ses terminaux, sa réception éventuelle d'un état de paiement le 20 septembre 2021 et le dépôt d'un nouveau Mer le 27 octobre 2021 réitérant les points précédemment soulevés et décidés par le meu ne pas réinitialiser l'heure du dépôt de la demande. Le demandeur a attendu environ sept mois après avoir reçu la réponse du MEU en juin 2021, qui a abordé ses soumissions sur le droit à l'indemnité de résiliation, avant de déposer la demande. La demande était donc en dehors du délai de 90 jours autorisé.

L'adhésion à la liste du demandeur ne lui a pas donné le droit de rendez-vous aux postes de FS-5 et ne lui a pas donné le droit d'être placé contre les postes disponibles sur une base prioritaire et non compétitive. L'organisation n'a aucune obligation d'aider un membre du personnel touché par la réduction des effectifs pour obtenir une promotion non compétitive. L’obligation de l’administration est de faire des efforts appropriés, raisonnables et de bonne foi pour aider le demandeur à trouver un autre poste à son niveau ou à un niveau inférieur mais pas à un niveau supérieur.

Le tribunal a jugé que sur la base des preuves disponibles, l'administration avait démontré que tous les efforts raisonnables avaient été faits pour considérer le demandeur pour les postes appropriés disponibles conformément aux règles du personnel 9.6 (e) et 13.1 (d). Des efforts de bonne foi pour le placer dans un poste alternatif approprié ont été faits par l'organisation et le demandeur n'a pas trouvé de position appropriée avant sa séparation. En conséquence, la demande a été rejetée.

L'UNAT a jugé que, à la suite du paragraphe 11 de l'accord d'interganisation, l'ONU, par le biais de l'ONU, s'est engagé à étendre la protection de son système d'administration de la justice à l'appelant en ce qui concerne les décisions administratives prises par l'ONUMID pendant la durée de la durée de l'accord de prêt. UNAT a noté qu'en vertu de cette disposition, l'appelant ne pouvait faire appel qu'avec les décisions administratives du PAM avant ILoat. Unat a jugé que, sans accès à l'administration du système judiciaire au sein de l'ONU, l'appelant n'aurait pas droit à un recours efficace...

Unat a jugé que l'appelant avait accepté les conditions de la RLA, qui indiquait que «l'employé prêté retournera à l'agence de libération à l'achèvement ou à la résiliation de sa mission avec Unamid et qu'aucune offre d'emploi continu ne lui sera faite par Unamid sans consulter l'agence de libération ». Unat a jugé que l'appelant avait eu un contrat de travail valide avec WFP, et il n'a pas rempli les conditions de résiliation en vertu de ce même accord. UNAT a noté que l'appelant n'avait pas officiellement lancé la procédure de transfert et / ou la résiliation. Unat a estimé que UNDT n'avait...