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UNDT/2022/005, Desire Yameogo

Décisions du TANU ou du TCNU

Le requérant n'a pas demandé le témoignage du plaignant et a donc renoncé à son droit de la contre-interroger malgré son autorisation de faire une telle demande en temps voulu au cours de cette procédure. Le récit du plaignant est resté détaillé, cohérent et cohérent dans sa plainte et dans l’entretien avec les enquêteurs. Il a également été largement corroboré par la déclaration du collègue à qui elle a rapidement signalé l'incident. Le tribunal note également l'absence de toute preuve suggérant un mauvais motif du côté du plaignant. Cette preuve répond aux normes établies par le Tribunal d'appel et constitue donc des preuves claires et convaincantes. Les faits établis: tentative énergique d'embrasser le plaignant, équivalent à un harcèlement sexuel au sens de la Sec. 1.1 (c) de CF / EXD / 2012-007, amende.1 (interdiction de discrimination, de harcèlement, de harcèlement sexuel et d'abus d'autorité) et constituent une violation de la règle 1.2 (f). Le licenciement de la sanction est proportionnel. Les droits dus à traitement du demandeur ont été respectés.

Décision Contestée ou Jugement Attaqué

Sanction disciplinaire de licenciement pour harcèlement sexuel.

Principe(s) Juridique(s)

La norme générale de la revue judiciaire dans les affaires disciplinaires exige que le Tribunal des litiges vérifie: a) si les faits sur lesquels la mesure disciplinaire étaient fondées ont été établies; (b) si les faits établis équivalent légalement à une faute; et (c) si la mesure disciplinaire appliquée était proportionnée à l'infraction. Lorsque la résiliation est un résultat possible, une faute doit être établie par des preuves claires et convaincantes, ce qui signifie que la vérité des faits affirmée est très probable. En cas de harcèlement sexuel, la conduite présumée a souvent lieu en privé, sans preuve directe autre que du plaignant. Le tribunal des litiges peut trouver le témoignage du plaignant de poids probant élevé lorsqu'il est détaillé, cohérent et cohérent et lorsqu'il n'y a aucune preuve que le plaignant avait un motif ultérieur pour accuser à tort le demandeur. Les preuves de personnes à qui le plaignant a signalé l'incident peut être considéré comme indirectement corroborant la déclaration du plaignant.

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Rejeté sur le fond

Le Bureau de l'Administration de la Justice (BAJ) a préparé ce résumé de la jurisprudence a titre informatif seulement. Il ne s'agit pas d'un document officiel et il ne faut pas s'y fier comme une interprétation faisant autorité des décisions des Tribunaux. Pour les textes faisant autorité des décisions, veuillez-vous référer au jugement ou à l'ordonnance rendue par le Tribunal respectif. Les Tribunaux sont les seuls organes compétents pour interpréter leurs jugements respectifs, conformément à l'article 12(3) du Statut du Tribunal du Contentieux Administratif des Nations Unies (TCANU) et à l'article 11(3) du Statut du Tribunal d'Appel des Nations Unies (TANU). Toute inexactitude dans cette publication relève seulement la responsabilité du BAJ, qui doit être contacté directement pour toute demande de correction. Pour faire part de vos commentaires, n’hésitez pas à communiquer avec BAJ à oaj@un.org

Les résumés des jugements étaient généralement préparés en anglais. Ils ont été traduits en ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ et sont en cours d'examen pour en vérifier l'exactitude.