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Gestion des dossiers

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L'UNAT a estimé que l'absence de discussion sur la gestion de l'affaire et d'audience devant le TCNU ne constituait pas une erreur de procédure.

Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en admettant et en examinant le mémorandum d'allégations de mauvaise conduite, car celui-ci avait été utilisé par l'Administration uniquement pour vérifier que les circonstances justifiant le placement du requérant en ALWP existaient.

L'UNAT a également constaté que le rapport d'enquête du BSCI ne faisait pas référence aux communications entre l'appelant et son conseil, ni aux échanges au...

L'UNAT a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur de procédure dans sa gestion de l'affaire qui aurait affecté l'issue de l'affaire. L'appelant a eu une occasion significative de présenter sa défense et de remettre en question la véracité des déclarations portées contre lui. Les témoins supplémentaires qu’il souhaitait faire comparaître n’auraient guère été d’une grande utilité pour sa cause.

L'UNAT a estimé que le Tribunal avait conclu à juste titre que le comportement allégué était établi par des preuves claires et convaincantes et que les actes de l'appelant, à savoir le fait de...

L'UNAT a estimé que l'appel contre les deux ordonnances interlocutoires était devenu sans objet après le prononcé du jugement n° UNDT/2022/124 et que l'UNDT n'avait pas commis d'erreur en rendant son jugement pendant la durée de cet appel. L'UNAT a néanmoins observé que l'UNDT avait commis une erreur de droit en imposant un délai déraisonnablement court pour se conformer à l'ordonnance n° 157 (NBI/2022). Malgré cela, l'UNAT a conclu que, la procédure étant irrecevable, cette conclusion n'était pas d'une grande aide pour l'appelant dans sa cause. Concernant l'ordonnance n° 158 (NBI/2022), l...

L'UNAT a rejeté l'appel, sans préjudice.

L’UNAT a noté que le recours de M. Radu concernait la décision administrative du 8 novembre 2021 concernant sa cessation de service pendant un arrêt de maladie certifié.

L'UNAT a en outre noté qu'un recours distinct de M. Radu, d'abord devant la Commission de recours et maintenant devant l'UNAT, concernait cette même décision administrative du 8 novembre 2021 sur le fond, à savoir la mesure disciplinaire de cessation de service pour la faute alléguée ( Cas UNAT n° 2023-1804).

L'UNAT a estimé que la décision attaquée de la Commission de recours dans...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

L'UNAT a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur de fait en n'ayant pas considéré la cessation de service, mentionnée dans l'avis de cessation de service, comme le motif de la décision contestée ; la mention de la retraite n’avait aucune incidence sur la cessation de service du fonctionnaire. L'UNAT a estimé que la lettre l'informant de l'expiration de son engagement de durée déterminée était conforme à la suppression du poste qu'elle occupait.

L'UNAT a noté que le contrôle judiciaire dans le contexte d'une suspension d...

L'UNAT a rejeté la demande d'audience de l'appelant. Elle a estimé que, conformément à l'article 18 du règlement de procédure du Tribunal d'appel, une audience orale ne serait d'aucune utilité dans cette affaire, car la question à examiner était simple et non complexe.

L’UNAT a estimé que la tentative de l’appelant d’élargir la portée de la question à examiner était intenable. L'UNAT a conclu qu'il avait été clairement convenu lors de la discussion de gestion du cas (CMD) que la question à trancher était la reclassification souhaitée du poste de M. Menon du niveau P-4 au niveau P-5 et que les...

L'UNAT a convenu avec le Tribunal du Commerce que les deux premières demandes devaient être rejetées. L'appelante n'a pas fourni de preuves suffisantes démontrant que sa candidature n'avait pas été examinée pleinement et équitablement. Concernant la plainte généralisée pour harcèlement, l'UNAT a reconnu que la requête sur cette question n'était pas recevable. Toutefois, en ce qui concerne la conclusion selon laquelle l’Administration avait abusé de son autorité en traitant mal la plainte pour harcèlement sexuel de la requérante, l’UNAT a estimé qu’il y avait eu une erreur de procédure. L...

L'UNAT a rejeté l'appel. L'UNAT a jugé que l'UNT ne s'est pas trompé en concluant que M. Reiterer avait commis l'inconduite présumée. L'UNAT a convenu de la conclusion de l'UNDT que les faits établis équivalaient à une faute de la part de M. Reiterer, à savoir qu'il a violé ST / SGB / 2008/5 concernant le chef et le ST / AI / 2013/4 concernant le chef deux. L'UNAT a en outre constaté que, compte tenu de la nature et des faits spécifiques entourant l'inconduite de M. Reiterer, la sanction de la rétrogradation par une catégorie avec un report, pendant un an, d'admissibilité à l'examen de la...

L'UNAT a soutenu qu'il y avait une prépondérance de preuves que le membre du personnel était un passager dans un véhicule des Nations Unies clairement marqué dans lequel des actes de nature sexuelle ont eu lieu lorsqu'il circulait dans une zone fortement traitée de la ville. Sa conduite constituait une circonstance exceptionnelle en termes de l'article 11.4 (b) de ST / AI / 2017/1, en particulier compte tenu de la nature grave et grave de la conduite dans laquelle il a été impliqué, capturé sur le clip vidéo qui a été largement diffusé, provoquant Un préjudice important à la réputation et à la...

L’UNAT a jugé qu’il n’y avait aucun mérite à la requête du membre du personnel de stimuler le dossier de la réponse du secrétaire général à une ordonnance de l’UNAT demandant des informations. L'UNAT a constaté que l'UNDT n'avait pas commis une erreur dans sa détermination que les informations disponibles établissaient sur un équilibre des probabilités que le membre du personnel avait engagé dans l'inconduite présumée justifiant son placement sur Alwop. Le clip vidéo, diffusé sur les réseaux sociaux et ailleurs, la concession équivoque (plus tard pour devenir un aveu sans équivoque) à être la...