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ST/CSG/2019/8

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Le TANU a estimé que l'agent avait eu amplement l'occasion de commenter son transfert latéral. Le TANU a noté qu'elle avait été informée de la recommandation de la séparer de son premier supérieur hiérarchique, contre lequel elle avait déposé une plainte pour conduite prohibée, et qu'elle avait eu l'occasion d'exprimer ses préoccupations.
Le TANU a reconnu que les responsabilités et les fonctions du nouveau poste correspondaient aux compétences, aux aptitudes et à l'expérience de l'agent. Le TANU a estimé qu'il n'y avait pas eu de risque accru pour sa sécurité d'emploi future et qu'elle n...

Bien que la plainte contre l’ancien Haut-Commissaire ait été déposée sous le titre ST/SGB/2008/5, son enquête et la décision contestée ont été entreprises sous le titre ST/SGB/2019/8 et ST/AI/2017/1, conformément à l’art. 8.3 de ST/SGB/2019/8.

L’aspect de la requête dont le défendeur a contesté la recevabilité concerne la manière dont les plaintes pour abus de pouvoir du requérant, déposées au titre des ST/SGB/2008/5 et ST/SGB/2019/8, ont fait l’objet d’une enquête. Ce fait amène cet aspect de la demande dans le cadre de Nwuke 2010-UNAT-099. Par conséquent, la totalité de la requête est...

L’UNAT a estimé qu’il y avait une nette disjonction dans la décision du Tribunal du contentieux des Nations Unies de faire droit à la demande de M. Nair uniquement en ce qui concerne les mesures disciplinaires (mais pas les mesures administratives), et en même temps d’annuler la décision disciplinaire elle-même. Le TANU a noté la confusion suscitée par la conclusion du Tribunal du Tribunal selon laquelle « aucune faute n'a eu lieu Â», tout en admettant que M. Nair avait « réagi et utilisé un langage hostile à plusieurs reprises Â» ce qui justifiait, de l'avis du Tribunal, l'imposition de mesures...

L'UNAT a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur de procédure dans sa gestion de l'affaire qui aurait affecté l'issue de l'affaire. L'appelant a eu une occasion significative de présenter sa défense et de remettre en question la véracité des déclarations portées contre lui. Les témoins supplémentaires qu’il souhaitait faire comparaître n’auraient guère été d’une grande utilité pour sa cause.

L'UNAT a estimé que le Tribunal avait conclu à juste titre que le comportement allégué était établi par des preuves claires et convaincantes et que les actes de l'appelant, à savoir le fait de...

Les faits incontestés sont sans ambiguïté et laissent peu de place à des interprétations différentes. Des excuses n'invalident ni n'annulent la faute commise. Le fait que la requérante n'ait pas été informée de l'impact négatif de sa pratique n'a aucune incidence sur la détermination des faits. Ainsi, l'administration a établi les faits qui sous-tendent la mesure disciplinaire en question par prépondérance de preuve.

Le fait que la requérante ait utilisé des jurons à l'égard de ses subordonnés et qu'elle se soit largement adressée à ses collègues par des surnoms sur le lieu de travail a été...

M. Nastase a fait appel du jugement du Tribunal.

Le TANU a confirmé la conclusion du TDNU selon laquelle il n'avait pas été établi par des preuves que la décision administrative de classer sa plainte était motivée par un parti pris à son encontre et était donc illégale.

L'UNAT a rejeté l'affirmation de M. Nastase selon laquelle le Tribunal avait commis une erreur en concluant que le fait qu'en 2019, M. Nastase avait déposé une plainte contre le CIOS pour mauvaise conduite n'avait aucun rapport avec ses problèmes de performance. L'UNAT a estimé que ces événements ne faisant pas partie de sa...

Le demandeur affirme que plusieurs événements de conduite interdite se sont produits entre 2018 et 2022 et l’ont affecté. Cependant, il n'a pas suivi la procédure prévue par les bulletins ST/SGB/2008/5 (Interdiction de la discrimination, du harcèlement, y compris le harcèlement sexuel, et de l'abus d'autorité) et ST/SGB/2019/8 (Lutte contre la discrimination, le harcèlement, y compris le harcèlement sexuel, et l'abus d'autorité). harcèlement et abus de pouvoir) pour le traitement des rapports officiels de conduite interdite et le Tribunal du contentieux n'a pas compétence pour mener une...

2023-UNAT-1366, AAN

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

Le TANU a estimé qu’en raison à la fois de l’incapacité du membre du personnel à se souvenir des événements en question et de la décision du Tribunal (approuvée par les parties) de ne pas tenir d’audience en personne, le Tribunal avait fait référence à juste titre au rapport d’enquête.

Le TANU a estimé que le Tribunal avait correctement déterminé que les actes du fonctionnaire étaient de nature sexuelle. Le membre du personnel avait, sans invitation, encouragement ou consentement, embrassé deux femmes différentes de manière sexuelle...

L'UNAT a confirmé la conclusion du TDNU selon laquelle la décision de l'Administration de ne pas constituer une commission d'enquête visant à établir les faits contre le FRO et le SRO de M. Yavuz était légale, car les incidents décrits dans la plainte de M. Yavuz ne fournissaient pas de motifs suffisants pour qu'ils se soient livrés à un comportement interdit ( harcèlement, abus d'autorité) mais relevait du domaine des désaccords sur le lieu de travail. L'UNAT a estimé que M. Yavuz n'avait pas démontré que les incidents mentionnés dans sa plainte concernant la conduite de son FRO et de son SRO...

Le dossier a démontré que la requérante a refusé d'achever l'évaluation des performances de ses superviseurs et a retardé la procédure d'extension du contrat. La requérante a refusé d'exercer des fonctions de gestion essentielles.

S'il est vrai qu'elle n'a pas eu l'occasion d'expliquer ses actions, les mesures correctives prévues à l'article 10.1 de l'instruction administrative ST/AI/2010/5 visent uniquement à remédier aux insuffisances de performance et ne sont pas punitives. Il n'était donc pas nécessaire de mener une forme d'enquête au cours de laquelle un membre du personnel serait tenu...