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Գé

L'Organisation mondiale de la Գé (OMS), l'agence sanitaire des Nations Unies, joue un rôle crucial dans la lutte contre la pandémie de COVID-19, depuis que les premiers cas ont été identifiés dans la ville chinoise de Wuhan en décembre. Son Directeur général, Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, a présenté cinq moyens par lesquels l'agence mène la riposte mondiale : en aidant les pays à se préparer et à réagir, en fournissant des informations fiables et précises, en veillant à ce que les fournitures vitales parviennent aux travailleurs de santé, en assurant des formations et en aidant à la recherche d'un vaccin.

Le HCR nous présente quelques-unes de ces milliers de bonnes actions entreprises à travers le monde par et auprès des plus vulnérables pour lutter contre la pandémie.

 « Cette crise exige ce qu'il y a de mieux dans l'humanité, avec des principes éthiques comme boussole », souligne la Directrice générale de l’UNESCO, préoccupée par les menaces potentielles à l’égard des plus vulnérables en matière de droits de l'homme, de vie privée et de normes éthiques. Des experts de l’UNESCO ont publié une déclaration pour guider les décideurs politiques et informer le public sur les considérations éthiques essentielles qui doivent être prises en compte dans la lutte mondiale contre cette pandémie.

La Journée mondiale de la santé, ce mardi 7 avril, est l’occasion de rendre hommage au travail du personnel infirmier et des sages-femmes à l’heure où de nombreux pays luttent contre la pandémie de COVID-19. Il s’agit de rappeler aux dirigeants de la planète le rôle déterminant que ces personnels jouent, au quotidien, pour préserver la santé des populations. En cette Année internationale des sages-femmes et du personnel infirmier, l’Organisation mondiale de la Գé (OMS) rappelle qu’il est vital de faire en sorte que ces ressources humaines soient suffisamment solides afin que, partout, chacun puisse bénéficier des soins dont il a besoin. Le 7 avril, l’OMS publiera le premier rapport sur le personnel infirmier dans le monde.

Stay active

Alors que la pandémie de COVID-19 continue de se propager dans de nombreux pays, les pratiques de distanciation physique et sociale deviennent de plus en plus courantes. Mais cela ne signifie pas pour autant que nous devons cesser d'être actifs et que nous devons couper les liens avec nos entraîneurs, nos coéquipiers ou nos instructeurs. D'ici au 6 avril, date de la , vous pouvez participer à plusieurs campagnes sur les réseaux sociaux afin de rester en bonne santé et de faire preuve d'actes de solidarité. 

Le sur le coronavirus dispense des conseils simples et concrets destinés aux professionnels de santé, aux éducateurs, aux associations, aux pouvoirs locaux et aux entreprises.

L'Agence des océans, partenaire du PNUE, vous invite à explorer les océans et leurs formes de vie étonnantes... de chez vous.

Afin de se préparer à une récession mondiale conséquente à la pandémie de COVID-19, le Groupe de la Banque mondiale s’engage à déployer jusqu’à 160 milliards de dollars d’engagements au cours des 15 prochains mois. Ces opérations, qui seront adaptées à la nature du choc subi par chaque pays, comprendront des financements en soutien à la lutte contre la pauvreté, à la protection sociale et aux réformes structurelles, dans l’objectif d'accélérer la vitesse de rétablissement et d’installer les conditions d’une croissance diversifiée et durable.

Les Nations Unies ont besoin de deux milliards de dollars afin de protéger des millions de personnes et d’empêcher le nouveau coronavirus de refaire le tour du monde. Une approche globale est la seule façon de lutter contre le COVID-19, a souligné l’ONU, lors du lancement de ce ǴǰDzԲé.

WHO and public health experts are deep in discussion whilst one writes notes. They are dressed in head-to-toe protective gear including face masks.

Face à la pandémie de COVID-19 dans le monde, les équipes de pays des Nations Unies renforcent leur soutien aux autorités nationales, tout en apportant leur appui aux intervenants de première ligne et en aidant les pays vulnérables à renforcer leur infrastructure de santé. L'Organisation mondiale de la Գé (OMS), en collaboration avec ses partenaires, fait en sorte que les fournitures essentielles, notamment les équipements de protection, parviennent aux professionnels qui soignent les patients dans les services.

La pandémie du COVID-19 n’est pas seulement un enjeu sanitaire. C’est un choc profond pour nos sociétés et nos activités économiques, et les femmes sont au cœur des initiatives prises actuellement pour dispenser des soins et prendre différentes mesures. ONU Femmes est en train de mettre à jour les informations et les analyses sur la façon dont les questions de genre comptent dans la réponse au COVID-19.

Alors que les fermetures d'établissements concernent près de 80% des écoliers et étudiants dans le monde, l'UNESCO a organisé une réunion en ligne d'un groupe ad hoc de ministres de l'éducation qui ont échangé des informations sur les mesures d'intensification déployées dans leurs pays pour aider les enseignants, les parents et les élèves à faire face à l'apprentissage à domicile. Ils ont également souligné les nouveaux défis nécessitant une coopération mondiale.

La flambée de maladie à coronavirus (COVID-19) touche de plus en plus de pays. Tandis que les Nations Unies continuent d’aider les plus vulnérables dans ce contexte de crise sanitaire, un formidable esprit de solidarité humaine s’est mis en place en de nombreux endroits du monde. A New York, par exemple, des habitants ont fait don de fournitures pour des enfants scolarisés à la maison. A Bruxelles, le Centre régional d’information des Nations Unies a distribué 3 100 masques chirurgicaux, qui se trouvaient dans ses réverses, au personnel de santé de plusieurs établissements en Belgique. Cet élan de solidarité doit devenir encore plus contagieux que le virus lui-même. C’est aussi dans cet esprit qu’a été lancé, le 13 mars, le .

men with masks unloading truck

Face aux conséquences sociales et économiques liées au COVID-19 au sein d’un très grand nombre de pays, les Nations Unies mobilisent l’ensemble de son personnel afin d’aider les gouvernements touchés et soutenir les efforts de maîtrise et de prévention de la maladie. Tandis que l’Organisation mondiale de la Գé (OMS) continue de coordonner la lutte contre la pandémie, les équipes de pays de l’ONU, ainsi que ses fonds, agences et programmes, travaillent avec les autorités locales pour appuyer les plans de réponse nationaux.

La est le premier traité international négocié sous les auspices de l’. Elle a été adoptée par l’Assemblée mondiale de la Գé le 21 mai 2003 et est entrée en vigueur le 27 février 2005. Elle est devenue depuis l’un des traités ayant remporté la plus rapide et la plus large adhésion dans l’histoire des Nations Unies. Élaboré face à la mondialisation de l’épidémie de tabagisme, ce traité se fonde sur des données factuelles et réaffirme le droit de tous les peuples au niveau de santé le plus élevé possible. La Convention représente un jalon dans la promotion de la santé publique et apporte une dimension juridique nouvelle à la coopération internationale en matière de santé.