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Le Secrétaire général António Guterres en visite à Tuvalu

Message du Secrétaire général (2023)

Les tsunamis sont les catastrophes naturelles les plus meurtrières.

Ils révèlent des inégalités profondément ancrées, les personnes les plus lourdement touchées étant les plus vulnérables : celles aux ressources limitées, vivant dans des communautés marginalisées, et celles déjà en proie à un chaos climatique qu’elles n’ont pas provoqué. Par ailleurs, les répercussions peuvent se faire sentir sur plusieurs générations.

Aujourd’hui, un tiers de la population mondiale – des habitants des pays les moins avancés et des petits ?tats insulaires en développement pour la plupart – n’est pas couvert par des systèmes d’alerte précoce aux tsunamis.

Or, l’alerte précoce permet de sauver des vies et présente de grands avantages financiers.

Dans le cadre de l’initiative ? Alertes précoces pour tous ?, qui vise à ce que tous les habitants de la planète soient protégés d’ici à 2027, nous répondrons en priorité aux besoins des plus vulnérables. ? cette fin, il nous faudra investir 3,1 milliards de dollars au cours des quatre prochaines années, soit environ 50 cents par personne – un bien faible prix à payer pour protéger l’ensemble de la population contre les risques climatiques, qui s’amplifient rapidement.

En faisant tomber les barrières, en luttant contre les inégalités et en nous attaquant à la crise climatique, nous pourrons renforcer la résilience et donner à chacun la possibilité de s’épanouir, même face aux défis les plus redoutables de la nature.

En cette Journée mondiale de sensibilisation aux tsunamis, engageons-nous à ne laisser personne de c?té lorsqu’un tsunami frappe et unissons nos efforts pour assurer un avenir s?r et prospère à toutes et tous.

 

 

Portrait du Secrétaire général

Dans le cadre de l’initiative ? Alertes précoces pour tous ?, qui vise à ce que tous les habitants de la planète soient protégés d’ici à 2027, nous répondrons en priorité aux besoins des plus vulnérables. ? cette fin, il nous faudra investir 3,1 milliards de dollars au cours des quatre prochaines années, soit environ 50 cents par personne – un bien faible prix à payer pour protéger l’ensemble de la population contre les risques climatiques, qui s’amplifient rapidement.

Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres