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Des enfants réfugiés font le signe ? V ? de la paix avec leurs mains.

Message du Secrétaire général (2020)

La Journée internationale de la paix est l’occasion de lancer un appel aux belligérants du monde entier pour qu’ils déposent les armes et ?uvrent pour l’harmonie. 

Alors que la pandémie du COVID-19 continue de provoquer des ravages à travers le monde, cet appel est plus important que jamais. C’est la raison pour laquelle j’ai appelé, en mars, à un cessez-le-feu mondial. 

Notre monde doit faire face à un ennemi commun : un virus mortel qui provoque d’indicibles souffrances, détruit les moyens de subsistance, contribue aux tensions internationales et exacerbe les menaces préexistantes, redoutables, qui pèsent sur la paix et la sécurité. 

Cette année, la Journée internationale de la paix a pour thème ? Fa?onnons la paix ensemble ?. 

Dans cet esprit, et pour marquer son soixante-quinzième anniversaire, l’Organisation des Nations Unies invite le public à prendre part à une conversation, menée à l’échelle mondiale, sur les moyens de fa?onner notre avenir et de b?tir la paix en ces temps difficiles.

Dans cette période de distanciation physique, nous ne pouvons pas forcément nous tenir aux c?tés les uns des autres. Pour autant, nous devons toujours rester unis pour la paix. 

Ensemble, je sais que nous pouvons et que nous allons   construire un monde plus juste, plus durable et plus équitable. 
 

Message publié à l’occasion du compte à rebours de 100 jours avant la journée internationale de la paix

Chaque année, le 21 septembre, l’Organisation des Nations Unies appelle les citoyennes et citoyens du monde entier à observer 24 heures de non-violence et de cessez-le-feu. Aujourd’hui, 100 jours avant la Journée internationale de la paix, souvenons-nous que notre ennemi commun est un virus qui provoque des souffrances aux proportions incommensurables et risque d’anéantir les progrès accomplis par l’humanité durant des décennies.

Ainsi, lorsque la pandémie du COVID-19 s’est propagée, j’ai appelé toutes les parties belligérantes à déposer les armes. En des temps inédits, nous ne pouvons pas agir comme de coutume. La pandémie n’est pas seulement une question sanitaire, elle a des effets directs et inquiétants sur le développement, la paix et la sécurité. 

Notre appel au cessez-le-feu mondial a été entendu dans de nombreux lieux et par de nombreux groupes. La méfiance peut rendre sa mise en ?uvre difficile, mais j’ai été encouragé par la forte adhésion qu’il a gagné auprès de la société civile, qui est en mesure d’influencer et de mobiliser les populations au niveau local. 

Cette année, la Journée internationale de la paix a pour thème ? Fa?onnons la paix ensemble ?, raison même de la fondation de l’Organisation des Nations Unies. Tout au long de cette année, qui marque son 75e anniversaire, l’Organisation invite le public à participer à une conversation menée à l’échelle mondiale sur les moyens de surmonter ensemble les plus grands problèmes de la planète, comme les changements climatiques, la pauvreté, le racisme ou les inégalités de genre. 

Mettons à profit ces dialogues, de même que la Journée internationale de la paix, pour échanger des idées sur les fa?ons d’instaurer un cessez-le-feu mondial, de préserver notre planète et de transformer la crise du COVID-19 en une occasion de paix. Reconstruisons sur de meilleures bases afin de rendre nos sociétés plus inclusives et plus pacifiques. 

Dans cette période de distanciation physique, nous ne pouvons pas forcément nous tenir aux c?tés les uns des autres. Pour autant, nous devons toujours rester unis pour la paix. ?

António Guterres

? l’occasion de cette Journée internationale, notre Organisation souhaiterait en définitive appeler chacune et chacun à dialoguer et penser ensemble l’avenir dans le respect de la diversité des opinions et des perspectives. C’est notre enjeu commun pour parvenir à une paix durable au niveau mondial. ?