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Plusieurs électeurs font la queue pour s'inscrire sur les listes électorales lors du référendum au Sud-Soudan en 2010.

Des électeurs attendent pour s'inscrire au référendum de janvier 2011 au Soudan du Sud. Le Soudan du Sud a été ajouté à la liste des pays les moins avancés en 2012. Photo ONU/Tim McKulka

Troisième conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés (PMA-III)
14-20 mai 2001, Bruxelles 

Contexte

Dix ans et demi après la , la troisième conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés (PMA-III) s'est tenue en 2001 à Bruxelles.

La Conférence a adopté le , que les ?tats membres ont adopté huit mois après le et la . Le Programme d'action de Bruxelles, qui s'inscrit dans le prolongement des objectifs fixés dans la Déclaration du millénaire, a fixé l'objectif principal de réaliser des progrès substantiels pour réduire de moitié la proportion de personnes vivant dans l'extrême pauvreté et souffrant de la faim d'ici à 2015, ainsi que l'objectif de promouvoir le développement durable des pays les moins avancés.

Le Programme d'action en faveur des pays les moins avancés pour la décennie 2001-2010 visait à améliorer les conditions de vie dans les pays les moins avancés et offrait un cadre de partenariat entre les pays les moins avancés et leurs partenaires de développement pour accélérer la croissance économique soutenue et le développement durable, mettre fin à la marginalisation en éradiquant la pauvreté, les inégalités et les privations dans ces pays, et leur permettre de s'intégrer de manière bénéfique dans l'économie mondiale.

Parmi les autres priorités figuraient le développement des ressources humaines et institutionnelles, l'élimination des contraintes liées à l'offre, le renforcement de la capacité de production, l'accélération de la croissance et l'élargissement de la participation des pays les moins avancés au commerce mondial et aux flux financiers et d'investissement. Après PMA-III, l'Assemblée générale des Nations unies décide de le Bureau du Haut Représentant des Nations unies pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits ?tats insulaires en développement qui exercera  le suivi pour la coordination, la surveillance et l’examen de l’application du Programme d'action de Bruxelles.

Aujourd'hui, le Bureau du Haut Représentant des Nations unies pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits ?tats insulaires en développement est au service de 91 ?tats vulnérables membres des Nations unies, qui ont tous confrontés à des problèmes qui leur sont propres sur la voie du développement durable et de la réalisation des objectifs convenus au niveau international. Le Bureau un appui international et plaide en faveur de ces trois groupes de pays vulnérables en faisant mieux prendre conscience des possibilités économiques, sociales et environnementales qui existent dans ces pays et en veillant à ce que les besoins pressants des 1,1 milliard d’êtres humains qui y résident continuent de compter au nombre des priorités internationales.